Les réseaux sociaux et notamment Facebook sont un excellent moyen de faire "durer" le temps. Non seulement ils enregistrent sur le long terme nos commentaires, nos statuts. Mais ils nous permettent de partager au présent une sorte d'immédiateté commune ou non avec ceux qui sont en relation avec nous sur ces réseaux.
Cette archéologie d'un présent antérieur, plus exactement de mon présent, je vous la livre sur quelques mois. Il s'agit de mes publications allant de début janvier 2011 et remontant au cours de l'été 2010. C'est un présent, car c'est toujours là, c'est antérieur car cela relate un passé.